— HOMMAGE À RHÉA. (saison une, épisode un.)

« Très bien Kassandra, mais je ne vais pas pouvoir rester à tes crochets durant toutes les festivités. » dit-elle sur un ton doux à sa sœur cadette. La jeune femme porte des vêtements bleus, aux couleurs de son élément. Un bijou de tête, vient se perdre dans sa chevelure brune. « Tu as vu Thésée ? Il m’a dit qu’il serait présent, mais je ne l’ai pas encore vu. Tu penses qu’il viendra avec Phoebe ? » Megara porte son regard vers l’horizon, légèrement troublée avant de se concentrer à nouveau sur les paroles de sa sœur. « J’imagine que oui.. ce n’est pas comme si notre famille avait réellement le choix. Et je présume que c’est la même chose pour les Kolasi. » La gamine s’arrête à un stand de nourriture, commande une spécialité typique de Théra. « Tu en veux ? » Megara secoue la tête. « Je suis en fonction, Kassandra. Je ne peux pas me le permettre. » dit-elle alors que ses yeux se posent sur @Eirini Sideris, vadrouillant quelques mètres plus loin. La cavalerie avait un regard déterminé, et Megara savait qu’avec elle, Héraklion ne risquait rien. Elle se prit à se remémorer le sauvetage de la déesse amazone quelques années plus tôt, alors que Megara errait en compagnie des insoumis. « Oh, je crois que Perseus va faire un discours. » Megara arque un sourcil en se tournant vers sa sœur. « Perseus.. vous êtes devenus intimes en mon absence ? » L’Okeanos pouffe légèrement, avant d’emboiter le pas vers la place centrale. Elles observent toutes les deux le discours du roi et de la reine d’Olympos. Les yeux de Kassandra s’émerveillent alors que Silia prend place sur l’estrade, et elle l’entend soupirer un compliment entre ses lèvres. Megara se met à sourire, appréciant ce moment partagé avec sa sœur. Un moment bien mérité. Tout avait volé en éclat depuis son arrivée en Olympos. Elle avait perdu son identité, avait retrouvé une sœur disparue. Perdu maintes et maintes combats. Avait apprit que son âme-sœur, celle dont elle pensait tout connaître lui avait menti durant presque toute sa vie. Tout semblait flou, tout semblait pousser Megara vers la fuite. Elle inspire profondément, alors que Perseus termine son discours. Certains s’avancent pour faire des offrandes, d’autres s’écartent et retournent au festivité. Les yeux de la princesse se posent sur @Hélios Keraunos, mais elle les détourne rapidement. « Je suis désolée mais.. je dois inspecter la ville. Essaie de retrouver mère ou Thésée s’il est arrivé. Dis lui qu’il me manque, et que j’aimerai qu’il passe me saluer si tu le croises. » Elle n’avait pas revu son jumeau depuis son arrivée en Olympos, et elle ressentait le besoin d’être réuni avec sa moitié. Kassandra l’enlace puis s’éloigne. Elle avait terriblement grandit, était devenue une jeune femme. Les années étaient passées plus vite qu’elle ne l’avait pensé. Posant une main sur son épée, elle fini par se détourner et reprendre sa surveillance. L’idée même d’aider la famille Keraunos l’horripilait, et elle ne comprenait pas l’alliance qui avait été faite par Silia. Pour autant, la guerrière atlante n’avait d’autre choix pour l’instant, que de se plier aux ordres.

résumé:

Elle déambule dans les rues d’Héraklion avec aisance, Mavros à ses côtés, elle ne s’inquiète de rien, s’évertue à observer le monde comme si rien n’avait la moindre importance. Mais son cœur se serre et les yeux se voilent d’ombres chaque fois que les pensées dérivent vers des jours passés. Le poing se serre en découvrant les pâtisseries d’un stand, souvenir lourd d’une amitié de toujours, celle-là même qui semble voler en éclats jour après jour. Les maux s’engouffrent dans le palpitant qu’elle tente de calmer en se focalisant sur sa mission. Les oreilles se tendent pour écouter les alentours, les ragots, les murmures, alors que ses gestes démontrent la nonchalance d’une femme aux nombreuses richesses.
Elle a décidé de jouer les ingénues aujourd’hui, de ces épouses à qui l’on offre les plus belles parures pour se flatter l’égo. Pour se dire qu’on a marié la plus belle trouvaille d’Ellada. Un soupire s’échappe d’entre ses lippes alors qu’elle se souvient des instants où elle était épouse elle-même. Où l’anneau sertissait ses doigts… La mâchoire se crispe et à nouveau les douleurs l’emportent à d’autres moments que celui présent.
Il n’est pas anodin qu’elle choisisse sa plus belle robe aujourd’hui. Il n’est pas pour rien qu’elle a couvert ses lèvres d’un rouge carmin. Elle l’attend. Désespérément.
« Un bol de lion ma jolie ? » la voix de la vieille dame la sort de sa torpeur et d’un large sourire accepte l’offrande. « Et si vous avez un petit morceau en plus pour mon cerbère. » qu’elle ajoute en caressant Mavros. Un peu décontenancée, la cuisinière s’attèle à préparer sa portion et la part de plus pour l’animal qu’elle dévisage entre chaque geste. Alekto ne prête attention à l’ennuie qui se joue devant elle et tourne le dos au stand pour observer avec plus de précision les gens qui l’entourent. La foule semble se diriger vers la place centrale alors que dix-sept heures approche. « Tenez. » La Vranychta se retourne et tend quelques drachmes avant de récupérer la nourriture. « Merci. » qu’elle décoche et offre la part de lion à Mavros avant de rejoindre le mouvement pour la place centrale.

A déguster son plat, Alekto écoute avec attention. Elle n’a aucun sentiment de tristesse envers la famille qui pleure un être perdu il y a déjà trop longtemps pour encore en faire une telle célébration. Mais elle s’étonne de la présence des amazones, si proches de la couronne d’Olympos. Une moue étire ses lippes et son regard ne peut s’empêcher de parcourir les curieux à la recherche de l’âme sœur. « Megara, où es-tu ? » qu’elle chuchote pour elle-même alors que le discours se clôture.

résumé :

Voguant loin des terres de Themyscira, diverses missions et différents buts en tête, Eirini se retrouve aujourd’hui en plein cœur d’Héraklion pour accomplir sa tâche en tant que générale, mais surtout en tant qu’Amazone. A l’instar de ses sœurs, elle a suivi Silia dans cette nouvelle entreprise leur permettant toujours un peu plus de s’ouvrir sur le monde par-delà les eaux agitées de l’océan d’argent. A peine ses pieds ont foulé le sol qu’Eirini a pris force des attentes qu’on avait d’elle, un poids sur les épaules qui n’a jamais réellement eu pour effet de l’intimider. Son regard se perd sur les expressions des visages qui s’amassent autour d’elle alors que le discours résonne sur la place. Son attention pourtant se porte rapidement sur les têtes couronnées, et en particulier sur sa Reine. Masque impassible, ses traits ne semblent trahir aucune de ses pensées à l’instant même où tout se joue.  
Et les festivités reprennent, tandis qu’Eirini se pare d’un sérieux qu’on lui connait bien et qui ne semble que rarement la quitter lorsqu’elle opère en guerrière. Que ce soit eux, ou les siennes, veiller à la protection n’est pas quelque chose qui dénote de ses impératifs habituels. Elle glisse dans les allées, navigue entre les groupes de personnes, ces mêmes gens qui ne semblent se soucier de sa présence – et c’est tant mieux. Eirini n’a jamais été friande des attentions inutiles. Dans d’autres circonstances, son attitude serait certainement différente, beaucoup plus décontracté, plus intéressée par les effluves qui émanent des stands, de la joie qui s’empare des lieux malgré les raisons de ce rassemblement. La générale ne s’en plaint pas, elle sait qu’elle trouvera toujours le temps et l’endroit pour profiter, elle aussi. L’after est bien plus intéressant, c'est du moins ce qu'elle a fini par apprendre auprès de ses anciens compagnons d'infortunes. Le faciès toujours dénué de faux semblant, ses lèvres esquissent néanmoins de manière assez subtile un sourire à mesure qu’elle patrouille et croise des regards. Ce n’est qu’en baissant un instant ses iris, qu’elle remarque un objet s’écraser par terre et le tintement de drachmes s’évadant de leur pochette vient à ses oreilles malgré le brouhaha ambiant. Elle s’abaisse rapidement pour les ramasser et les remettre dans la bourse avant de se relever. D’un geste elle s’élance en avant afin de retenir la personne s’étant délestée de quelques richesses. — Il me semble que c’est à vous, qu’elle souffle en lui tendant le petit sac, vous devriez faire plus attention. C'est dit avec une certaine fermeté mais également une bienveillance difficilement saisissable sous son apparat d'amazone.  

résumé:

Il y a quelque chose qui vibre dans l’air ; l’atmosphère qui se pourfend de cet air sévère que l’on donne aux vents des beaux hivers. Le froid mord et les frissons grumellent la peau qui se couche sous les linges. Cyrian, il réprime de ces sursauts glacés qui font trembler sa lèvre inférieure. Il inspecte. Il observe. Aussi calme qu’est l’océan après la pire des tempêtes ; sempiternellement apaisé, il déambule sans faire un pas de côté. La chouette perchée sur l’épaule, il se fond malgré tout dans le décor, à la manière d’un petit fantôme ; a-t-on déjà vu un spectre si habile ? Il est cette ombre qui se fond et se confond avec la mort des angles de vue. Il est silencieux, un peu trop agile lorsqu’il s’agit de disparaître. Mais il y a quelque chose qui hurle, entre les murs de cette cage de sérénité qui lui sert de poitrine. Quelque chose qui s’agite, quelque chose qui l’alerte. L’appel de ses semblables qui résonne quelque part. Ils sont là. Qui, quoi ? Les membres du culte, oui. Assurément, il doit les trouver. Mais aussi, les insoumis. Vieux amis qui se tapissent et qui font que ses sens se hérissent. Ils sont proches, pas vrai ? Et si loin, pourtant. Il voudrait s’approcher. Il voudrait saisir de ses doigts ce lien qui les raccrochait ; tirer sur la corde pour tout nouer. Pelote de sentiments qui se confronte au froid incessant d’une réflexion qui veut s’imposer.
Mais il tombe sur Alekto, en premier. Le regard se confronte à celui de la belle, à celui de l’irréelle. Il ne peut s’empêcher de sourire sous le masque d’impassibilité qu’il se dessine sur la moue placide. Qui d’autre est ici ? Qui d’autre, pardi ? La cavalerie, la princesse au trident, peut-être. Il hoche la tête. Salue silencieusement. Approchez-moi si vous pouvez - il lance l’appelle, demande à la chouette de s’envoler. Voyez comme elle surplombe les têtes, et inspectez le ciel. Là où battent les ailes, il y a le Spectre qui attend.

Spoiler:

Alors que la voix grave du roi lance les festivités, le pirate dissimulé sous les allures d'un homme riche s'avance sur la place centrale, s'appliquant à ne pas croiser les soldats qui pourraient reconnaître un fantôme du passé. Ses prunelles inquisitrices observent les moindre détails qui pourraient se dresser sur sa route, gardant un oeil sur le reste de son équipage qui prend également part aux festivités. Si leur but est de s'infiltrer dans le palais pour voler l'artefact magique si réputé, ils se laissent quelque peu aller. Il ne dit rien, Hyperion, il les laisse profiter de ce moment de frivolités et de légèretés qui s'offre à eux, les observant délaisser leur quête pour voler quelques bourses et s'amuser. Le Capitaine ne pourra pas le leur reprocher, car sa concentration est rapidement étiolée par deux silhouettes devant lui à une trentaine de mètres. (@Alekto Vranychta) Il s'arrête, le palpitant à la fois brisé et reconstitué, faisant ainsi bêtement tomber les drachmes qu'il vient de voler, tant il est perturbé. L'attention accaparée, il saurait reconnaitre le Cerbère et la pirate dissimulée sous les traits d'une femme riche entre mille, même si celles-ci sont de dos. Son regard s'attarde sur la demoiselle, et si il crève d'envie de s'avancer sans savoir réellement ce qu'il pourrait dire, une personne le retient. Ses prunelles bleutées quittent à contre coeur la silhouette d’Alekto pour faire face à @Eirini Sideris. Perplexe devant ce visage qui lui dit pourtant quelque chose, il n'arrive pas à se rappeler qu'il l'a déjà vu lorsqu'il a passé ses nombreuses années à la poursuite de sa femme et du groupuscule qu'elle avait intégré. — Il me semble que c’est à vous, vous devriez faire plus attention. dit-elle, en lui tendant l'objet qu'il s’empare de la bourse de drachmes pour la remettre soigneusement dans sa poche avant que le véritable propriétaire ne la reconnaisse. Il s'efforce de jouer la comédie, comédien qu'il n'a plus vraiment l'habitude d'être, en lui adressant un sourire, laissant une étincelle de gratitude illuminer ses iris azures. « Par tous les Keraunos, je vous remercie, hm.. ? » Il aurait voulu placer son prénom, et cette question informulée lui indique implicitement de se présenter. Il la devance, tissant rapidement une fausse identité. « Hermès Pratagos, ravie de vous rencontrer. » Il incline la tête en signe de politesse, et lui offre son bras pour qu'elle l’accepte et marche en sa compagnie, ne serait-ce qu'un court instant. « Auriez-vous du temps à m'accorder ? » doutant qu'elle puisse faillir à son devoir simplement pour rester quelques instants en sa compagnie, mais il ne pouvait renier cette pointe de curiosité qui lui murmurait qu'il l'avait déjà croisé dans ce passé qu’il s’efforçait d’oublier.

Spoiler:

festival frôlant l’égocentrisme d’une dynastie. patronyme dévouant multiples fidèles devant leurs pieds pour quelques drachmes dont ils n’avaient besoin. l’opulence excessive alors que le cercle inférieur n’était que déchéance d’une société qui n’en n’avait que faire. spectatrice d’un mirage ridicule alors que les royaux se font critique toute l’année. l’hypocrisie sur leurs faciès pour ne devenir que récurrence dans leurs regards. une habitude prise. le regard cinglant, celui qu’elle ne connaissait que trop bien. celle point capable d’effectuer son devoir d’épouse et de fournir l’héritier tant désiré. une fête devenant rituelle pour la fille du roi pourtant. une fille.
une princesse.
hypocrites.
six années de mariage pour n’offrir qu’un enfant.
naissance sous la bénédiction des moires.
princesse solaire n’ayant à envier à zeus que son ichor divin.
celle qui ne représente que l’échec alors que l’époux se fait absent du lit conjugal. le myocarde princier encore lié à celui de l’épouse déchue. nouveauté qui s’allonge dans le temps, un statut encore fragile alors que sa position n’est point renforcée sans la présence d’un petit prince. l’enfant terrible grandit dans l’atmosphère intenable. la même mascarade se répétant chaque année. ces quelques personnes ayant bien plus besoin des drachmes donnés que la couronne en ait jamais. pourtant. chaque année. le même scénario devient réalité alors que l’enfant prend place aux côtés d’héraklès. celle qui est devenu femme divine après ses voeux. ascendance factice. héra gronde de ce spectacle, son élue destinée à revivre son propre mariage.
un bruit sourd.
presque inhumain.
impossible.
nymphe s’interposant de manière immédiate entre sa fille et la foule ambiante. panique submergeant le moindre de ses sens alors que la mère s’impose comme bouclier humain pour le sort de son enfant. l’époux est tombé. la mascarade prend subitement fin. les moires ricanent depuis le début de son existence. l’incompréhension survient. atlantes. ses frères et soeurs spirituels. princesse consort perdue dans l’agitation de la ville. héraklion allait tomber. le subterfuge divin des keraunos s’estompait petit à petit. il ne lui fallait que quelques minutes pour appeler son fidèle ami. quelques minutes pour sauver sa fille et sa vie. l’aigle du caucase présent à un point stratégique pour un repli nécessaire. princesse hurlant aux servants de s’enfuir de la ville pour se mettre à l’abri. détachant une grande partie de sa garde pour escorter la population en sûreté. le chaos s’abat alors que les dieux reprennent leurs places originelles dévoilant l’imposture des profanes.

Spoiler:

Le Cerbère cherche sa moitié parmi la foule, parmi ces amazones venues protéger les populations. Parmi ces êtres observant avec ferveur la famille royale, elle retrouve la silhouette de @Cyrian Vasilis qu’elle salue en retour. Un simple hochement de tête, parce qu’elle n’a aucune intention d’aller à sa rencontre. Pas aujourd’hui, pas ici. Elle regarde pourtant la chouette du compagnon s’envoler, ce qui la détourne de l’endroit même où elle aurait dû regarder… Derrière elle se tient @Hyperion Stavros et, sans le savoir, elle s’éloigne de lui pour trouver d’autres visages.
A tendre l’oreille, elle cherche les cachoteries, mais n’entend qu’un brouha à la gloire des Keraunos. Alors elle s’éloigne, pour trouver d’autres songes, pour entendre ceux qui les maudissent.
A déambuler, elle perd la notion du temps, jusqu’à ce que son attention se porte sur un flambeau qui brille de mille feux alors que le soleil ne disperse presque plus ses rayons. Elle se laisse souffler une minute devant la flamme, jusqu’à ce qu’un mouvement de panique ne vienne la bousculer. Les hurlements s’amorcent et le chaos s’empare d’Héraklion. Sur ses gardes, Mavros se cale sur les mouvements d’Alekto et ensemble, ils s’avancent en contre sens de la cohue. Elle n’a aucune idée de ce qui est en train de se passer, mais soudain, elle trouve Drakon qui la prend par le bras et l’attire à l’écart du mouvement. « Retourne au Kraken et quitte Héraklion. » Elle balaye cette idée d’un revers de la main, s’inquiète de la situation. « Qu’est-ce qu’il se passe sur la place ? » Il secoue la tête, sachant pertinemment que sa sœur ne quittera pas les lieux en connaissant la vérité. Il hésite une seconde, puis souffle. « Un minotaure… On doit tuer les membres du Culte qu’on trouve. » Il observe les alentours. Alors que le monde meurt à quelques pas d’eux, que tout tombe en ruines, ils sont là, comme deux idiots, à ne pas vouloir se laisser. « Je te suis. » qu’elle lui annonce sans qu’aucune autre proposition soit envisageable. A contre-cœur, il hoche la tête pour accepter, et Alekto sort la dague de sa besace. Drakon l’observe une fraction de seconde, et ensemble, ils s’élancent jusqu’à la place où la joie des minutes passées s’est transformée en un champ de bataille. Vranychta découvre les amazones qui tentent de s’attaquer à la créature et son esprit dérive immédiatement à Megara et aux Insoumis qui se trouvaient là il n’y a pas si longtemps. Elle espère finalement qu’Hyperion n’est pas venu. La tête tourne à leur recherche et dans la précipitation, elle perd la trace de son frère. « DRAKON ! » qu’elle cri pour qu’il l’attende, et son prénom résonne en écho. Alors guidée par Mavros, elle suit les pas jusqu’à le retrouver pris entre deux lames. Le Culte. Les poings se serrent et sans plus y penser, elle lance sa dague vers le membre le plus proche.

Lancé dé niveau 3 — Télékinésie
réussite — Grâce à la télékinésie, Alekto envoie sa dague astrale dans le bras du cultiste, lui faisant lâcher son arme et le blessant. Elle rappelle la dague en chuchotant son propre prénom avant de se préparer à défendre à nouveau son frère.
échec — Trop concentrée sur son frère, Alekto ne voit pas qu'un troisième cultiste arrive dans sa direction et la prend de court avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit. Elle est blessée au bras.

résumé :